Littérature

Guillaume Musso, La Vie secrète des écrivains

Guillaume Musso, La Vie secrète des écrivains

En 1999, après avoir publié trois romans devenus cultes, le célèbre écrivain Nathan Fawles annonce qu’il arrête d’écrire et se retire à Beaumont, une île sauvage et sublime au large des côtes de la Méditerranée.
Automne 2018. Fawles n’a plus donné une seule interview depuis vingt ans. Alors que ses romans continuent de captiver les lecteurs, Mathilde Monney, une jeune journaliste suisse, débarque sur l’île, bien décidée à percer son secret.
Le même jour, un corps de femme est découvert sur une plage et l’île est bouclée par les autorités. Commence alors entre Mathilde et Nathan un dangereux face à face, où se heurtent vérités occultées et mensonges assumés, où se frôlent l’amour et la peur…
Une lecture inoubliable, un puzzle littéraire fascinant qui se révèle diabolique lorsque l’auteur y place sa dernière pièce.

Éditeur original : Calmann-Lévy

Critiques

  • Certains critiques ont enfin remisé leur snobisme pour rendre hommage à son talent de conteur.
    Paris Match n° 3650, Valérie Trieweiler, 25 avril 2019
  • Il subsiste malgré tout une impression de déjà lu. Pas désagréable, mais peut-être un peu court en bouche […]. Et sous le vernis du suspense efficace, La vie secrète des écrivains est aussi une forme d’hommage léger à la littérature.
    Le Devoir, Christian Desmeules, 11 mai 2019
  • Le nouveau roman de Guillaume Musso nous ressert le mythe de l’écrivain reclus, avec son talent célèbre pour le cliché […]. On savait que la France allait mal ; le nouveau roman de Guillaume Musso est un indice supplémentaire de la souffrance des citoyens d’hypermarché qui […] placent dans leur chariot un roman déjà lu, prédigéré et totalement bâclé.
    Le Figaro Magazine n° 23228, Frédéric Beigbeder, 19 et 20 avril 2019
  • Grâce à un labyrinthe narratif au suspense redoutable, Guillaume Musso surprend encore avec ce thriller captivant.
    Télé 7 jours n° 3073, Héloïse Goy, 15 avril 2019
  • L’intrigue à triple fond est efficace, elle aurait même mérité que le romancier l’exploite davantage, s’y attarde, bref, en profite et nous en fasse profiter.
    Libération, Claire Devarrieux, 12 avril 2019

Comment here