Littérature

Jean-Baptiste Andrea, Cent millions d’années et un jour

Jean-Baptiste Andrea, Cent millions d'années et un jour

Une expédition paléontologique en pleine montagne où chaque pas nous rapproche du rêve et de la folie. Après le succès de « Ma reine », un deuxième roman à couper le souffle.

1954. C’est dans un village perdu entre la France et l’Italie que Stan, paléontologue en fin de carrière, convoque Umberto et Peter, deux autres scientifiques. Car Stan a un projet. Ou plutôt un rêve. De ceux, obsédants, qu’on ne peut ignorer. Il prend la forme, improbable, d’un squelette. Apato- saure ? Brontosaure ? Il ne sait pas vraiment. Mais le monstre dort forcément quelque part là-haut, dans la glace. S’il le découvre, ce sera enfin la gloire, il en est convaincu. Alors l’ascension commence. Mais le froid, l’altitude, la solitude, se resserrent comme un étau. Et entraînent l’équipée là où nul n’aurait pensé aller.

De sa plume cinématographique et poétique, Jean-Baptiste Andrea signe un roman à couper le souffle, porté par ces folies qui nous hantent.

Éditeur original : L’Iconoclaste

Critiques

  • Le deuxième roman de Jean-Baptiste Andrea est aussi haletant que poétique, et allume d’emblée chez son lecteur une flamme qui brille jusqu’à la dernière ligne, éclairant la nuit épaisse des Dolomites […]. Ce conte étrange se lit d’une seule traite, jusqu’à ses dernières lignes, solaires, qui laissent groggy. Il parle d’aventure. Il parle aussi de nos rêves et de ce qui pousse à les accomplir. Des illusions folles et belles.
    La Croix n° 41505, Loup Besmond de Senneville, 12 septembre 2019
  • Dans ce deuxième roman de Jean-Baptiste Andrea, après « Ma Reine », on reconnaît la même voix pleine d’un imaginaire personnel à vouloir déplacer les montagnes, mais bien conscient que c’est l’expérience qui vaut le voyage. On suit cette quête obstinée, pas après pas, avec admiration.
    Libération n° 11912, Frédérique Roussel, 21 et 22 septembre 2019
  • Jean-Baptiste Andrea franchit le cap du second roman, le plus périlleux, avec une facilité déconcertante. Homme d’images et poète, il nous transporte sur sa montagne et nous fait vivre une aventure aussi magique que cruelle. On attend la suite avec impatience.
    Le Figaro n°23411, Bruno Corty, 21 novembre 2019

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